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Moi en terrain ennemi? Vous m'en voyez navrée! Pleine Lune Se matin quand je me suis réveiller je n’étais pas dans la tanière des guerrier. Je lève la tête un peu confuse. Peut-être dans la tanière de mon frère. Je regarde à droite, à gauche. Personnes… Ou suis-je? Soudain, ça me reviens, je me suis encore disputer avec quelqu’un du clan. Je soupire en baissant la tête. Je n’arrive jamais à me contrôler. Quand quelque chose arrive je n’y peux rien, il faut que je lui cri dessus. Je me lève et me dirige vers le point de lumière devant moi. Comme je le pensais j’étais à la grotte de mon territoire. Je donne un coup de griffe sur l’arbre près de moi pour me défouler un peu. Je n’ai pas envie de rentrer au camp. Tout le monde me déteste. Je suis… inutile. Une larme coule le long de ma joue. Je l’essuie et soupire. Je vais un peu vagabonder sur mon territoire et attendre que quelqu’un vienne me chercher. Je marche donc tête basse je ne regarde pas ou je mets mes pattes. Aucune importance. Soudain après plusieurs minutes de marche j’entends un brui non familier. Je me rapprochai du bruit en question. Puis je me retrouvai face à face avec des chutes d’eau. Je dis une injure et je regardais autour de moi. Je ne savais même pas ou j’étais.

Pleine Lune & Etoile Océanique

Les chutes… C'était un des endroits les plus reposants de mon territoire. Ici, on était rarement dérangé. Et justement, j'avais besoin de m'éloigner un peu du camp ; de changer d'air. Personne ne m'énervait, non. Je voulais juste être tranquille. Oui, pour moi, écouter les chutes d'eau, c'était apaisant. Je partis donc discrètement de ma tente pour rejoindre mon havre de paix. Les autres arriveront bien à se passer de moi ; ne serait-ce que quelques minutes. Après tout, ils sont grands et savent gérer tout seul. Enfin passons. Je n'étais pas sorti du camp pour continuer à penser à eux mais pour, justement, pouvoir m'évader un peu. La brise était fraîche mais pour moi, c'était tout sauf un problème et pour cause, je préfère qu'il y ait ça plutôt qu'un soleil accompagné d'une chaleur étouffante. Du coup, tout allait bien et j'allais enfin pouvoir profiter de mon temps libre pour me reposer.

Enfin ? Non, pas vraiment. J'entendais clairement le bruit des chutes lorsque j'entendis un bruit de pas. Il y avait quelqu'un d'autre ici. Génial … Au revoir « paix » et « tranquillité » et bonjour aux éventuels ennuis qui ne vont pas tarder à apparaître. Bon, quitte à devoir se battre, autant que ce soit moi qui engage. Lentement, je m'approchais. Je pouvais effectivement compter sur l'effet de surprise sur ce coup-là. C'était un Noctali. Quelqu'un qui n'est pas de mon clan et de ce fait, un potentiel ennemi. Je restai derrière avant de me mettre à parler :

— Qui es-tu et que viens-tu faire par ici ? Tu es sur le territoire du clan de l'Hiver, j'espère que tu as une bonne justification.

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Moi en terrain ennemi? Vous m'en voyez navrée! Pleine Lune — Qui es-tu et que viens-tu faire par ici ? Tu es sur le territoire du clan de l'Hiver, j'espère que tu as une bonne justification. Je me retourne en sursautant. Là devant moi il y a un pingoléon, mais pas n’importe lequel. Le chef du clan de l’hiver : Étoile Océanique. Il avait l’air pas très commode. Comme ci je l’avais déranger. Non ce n’est certainement pas parce que je suis sur son territoire… Bon d’accord ça doit être ça. Je ne suis pas sur mon territoire mais je suis quand même devant un chef. Donc je m’incline et dis : -Pardonner moi d’être sur vos terres. Je me nomme Pleine Lune guerrière du clan de l’automne. Ma justification est que je me suis perdu. En fait je ne portais pas vraiment attention ou j’allais j’étais perdu dans mes pensées donc je ne regardais pas ou j’allais. Donc comme vous avez compris je ne suis pas ici pour une déclaration de guerre je suis ici en paix. Et aussi… Désolé je parle un peu trop.

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Visiblement, elle s'était perdue. Enfin, ça, c'est ce qu'elle affirmait mais de toute façon, je n'avais aucune raison de ne pas la croire. Quoiqu'il en soit, le chef du clan de l'Automne devrait songer à mieux surveilles les Pokémons qui l'entourent. Même s'il fait ce qu'il veut, j'en conviens. A vrai dire, j'avais surtout eu peur qu'elle vienne pour… Je me comprends. Je soupirai. Un guerrier qui se perd, c'est assez peu banal. Mais ce n'est pas la peine de continuer là-dessus. Donc, conclusion, plus vite je l'aide à retrouver son chemin, plus vite je pourrai profiter de ma tranquillité. Ça me semblait pas mal. Il fallait juste que je sache par où commencer. Déjà, elle me connaître peut-être mais je ne veux pas passer pour quelqu'un d'impoli en sautant l'étape de la présentation :

— Enchanté. Je suis Etoile Océanique. Excuse-moi si j'ai pu paraître hostile et désagréable au premier abord, ce n'était pas mon but. Tu t'es perdue, dis-tu ? Si tu le souhaites, je peux t'aider à retrouver ton chemin même si un guerrier qui se perd, c'est… Original.

Oh, un peu d'ironie n'avait jamais tué personne, hein. Pas que je sache en tout cas. Et puis de toute façon, je n'avais rien trouvé de mieux pour essayer de détendre un peu l'atmosphère. Il fallait juste espérer qu'elle ne le prenne pas mal. Surtout que, au risque de me répéter, ce n'était pas mon objectif.

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Moi en terrain ennemi? Vous m'en voyez navrée! Pleine Lune — Enchanté. Je suis Etoile Océanique. Excuse-moi si j'ai pu paraître hostile et désagréable au premier abord, ce n'était pas mon but. Tu t'es perdue, dis-tu ? Si tu le souhaites, je peux t'aider à retrouver ton chemin même si un guerrier qui se perd, c'est … Original. Je rougis un peu de honte. Un ennemi qui aide, ce n’est pas normal selon moi. Je regarde Étoile Océanique dans les yeux. Je continu de le fixer en disant d’un ton moins hostile : -Je n’ai pas besoin de ton aide. Je suis capable de me débrouiller toute seule. De toute façon je ne rentre pas tout de suite à mon camp. J’en avais peut-être trop dis. Je ne veux pas non plus causé de bagarre car un chef n’est pas chef pour rien. Il est chef car il est puissant.  Je déteste quand quelqu’un propose de m’aider on dirait qu’ils me prennent pour une Noctalie qui est faible. Au contraire je ne suis pas faible du tout!

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Hum, ce n'était pas exactement la réponse que j'attendais. Son arrogance aurait pu me laisser de marbre si elle ne s'était pas permise de me parler ainsi à l'intérieur de mon territoire. Heureusement pour elle, je n'avais envie de me battre ni de déclencher une guerre avec un autre clan. Je me tenais droit en face d'elle, et je soutenais son regard. Il était hors de question que cette jeune impudente me fasse baisser les yeux. Je ne suis pas un chef pour rien et je ne supporte que très difficilement ce genre d'attitude. Déjà que ça a du mal à passer lorsqu'il s'agit de l'un de mes propres compagnons alors quand c'est une guerrière extérieure au clan… Je vous laisse imaginer. Non, ça ne passait définitivement pas. Elle avait beau s'être exprimée sur un ton « calme », ça ne changeait rien au fait qu'elle m'avait envoyé paître alors que je lui proposais gentiment mon aide. Je n'avais pas l'intention d'en rester là. Et de ce que j'ai pu constater, ma blague est passée inaperçue. Enfin, peu importe, ce n'était pas très important de toute manière. De plus, elle était également passée du vouvoiement au tutoiement. Pas que ça me dérange plus que ça, non. Mais c'était autre chose qui démontrait l'arrogance de cette jeune Noctali. Or, le respect reste quelque chose de primordial chez moi.

Je continuais à la fixer droit dans les yeux. Je pouvais rester comme ça pendant longtemps. Il n'était pas envisageable que je m'incline devant ce genre de personne. Je lui donnerai un avertissement ; pas deux. Après, c'est à elle de choisir mais il ne faudra pas venir se plaindre. Malgré tout, je fis mon possible pour garder un ton posé :

— Dis-moi jeune guerrière, ne t'as-t-on jamais enseigné le respect ? Particulièrement celui des aînés ? Tu devrais songer à ça, à l'avenir. Surtout lorsque tu fais face à un chef de clan. Je t'ai gentiment proposé mon aide. Ce n'est pas le fait que tu l'aies refusé qui me dérange mais la manière dont tu l'as dit. Maintenant, je pense qu'il serait judicieux que tu t'en ailles puisque tu es capable de retrouver ton chemin toute seule.

Ton calme et posé… Ton calme et posé… J'avais fait tout mon possible pour ne pas m'énerver. Ce que j'espérais, c'est qu'elle ait retenu la leçon et si ce n'est pas le cas et bien… Je plains les personnes qu'elle croisera prochainement.

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Moi en terrain ennemi? Vous m'en voyez navrée! Pleine Lune — Dis-moi jeune guerrière, ne t’a-t-on jamais enseigné le respect ? Particulièrement celui des aînés ? Tu devrais songer à ça, à l'avenir. Surtout lorsque tu fais face à un chef de clan. Je t'ai gentiment proposé mon aide. Ce n'est pas le fait que tu l'aies refusé qui me dérange mais la manière dont tu l'as dit. Maintenant, je pense qu'il serait judicieux que tu t'en ailles puisque tu es capable de retrouver ton chemin toute seule. Le respect? Je n’avais pas été assez respectueuse? Si cela aurais été un membre de mon clan je lui aurais sauté dessus, mais c’est vrai que si ça aurais été quelqu’un de mon clan il n’aurait jamais osé. Je suis un peu énerver donc je vais essayer de me calmer. Bon il ma dis de dégager. Super comme chef dis donc! Je ne vais pas aller au camp tout de suite. Non ils vont tous me demander ou est-ce que j’étais. Je reporte mon attention sur Étoile Océanique, il n’a pas bougé d’un poil. Peut-être qu’il serait mieux pour moi de partir. J’avance et quand je suis à ça hauteur je dis presque marmonne : -Désoler je ne voulais pas vous manquez de respect…

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Cette jeune Noctali était vraiment très très étrange. Elle passait clairement du coq à l'âne. Tantôt elle se contrefoutait de ce que je pouvais bien lui dire et tantôt elle se faisait toute petit et disait qu'elle était désolée du manque de respect. Décidément, je me demande si nous arriverons un jour à nous mettre d'accord une bonne fois pour toute. Plus le temps et la discussion passaient, plus j'avais du mal à la comprendre et plus je la trouvais étrange. A force, je ne savais plus comment réagir avec elle. Je ne pouvais pas savoir à l'avance si elle prendrait bien mes paroles ou si, au contraire, ça l'énerverait comme dans le cas précédent. Au fond, je m'en fichais un peu mais comme j'ai pu le dire, je ne tiens pas à déclencher une guerre inter-clan. Je ne voudrais pas porter ce genre de responsabilité. Lâche ? Non. Je suis juste très prudent et honnêtement, je ne pense pas être le seul à agir de cette manière. M'est d'avis que nous sommes très peu à vouloir la guerre. Enfin, je dirais même que personne d'entre nous ne la souhaite. Du coup, c'est déjà une chose de réglé. Tout ça pour dire qu'il fallait absolument que je fasse tout mon possible pour rester calme avec la jeune Noctali.

Pour le moment, j'avais bien l'intention de profiter du fait qu'elle est redevenue calme pour lui expliquer certaines petites choses. Tout ceci sans m'énerver, évidemment. Au risque de me répéter, ce n'est pas mon but. Elle s'était mise à ma hauteur et je continuais à la fixer droit dans les yeux. Elle espérait quoi en faisant ça ? Je n'en avais aucune idée. Toujours en la fixant, je laissais un soupire m'échapper. Peut-être qu'un jour, je parviendrai à la comprendre, qui sait :

— Tu es vraiment étrange, tu sais. Tes réactions sont bizarres mais ce n'est pas grave. Bon, je suppose que tout ceci est réglé, n'est-ce pas ? N'en parlons plus et repartons sur une meilleure base. Au départ, je suis venu ici dans l'espoir d'obtenir un peu de tranquillité mais de toute évidence, c'est raté. Du coup, je veux bien t'accompagner à travers mon territoire, si tu le veux. Avec moi, tu ne risques vraiment rien même si je ne doute pas de tes capacités, nous sommes d'accord.

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Moi en terrain ennemi? Vous m'en voyez navrée! Pleine Lune — Tu es vraiment étrange, tu sais. Tes réactions sont bizarres mais ce n'est pas grave. Bon, je suppose que tout ceci est réglé, n'est-ce pas ? N'en parlons plus et repartons sur une meilleure base. Au départ, je suis venu ici dans l'espoir d'obtenir un peu de tranquillité mais de toute évidence, c'est raté. Du coup, je veux bien t'accompagner à travers mon territoire, si tu le veux. Avec moi, tu ne risques vraiment rien même si je ne doute pas de tes capacités, nous sommes d'accord. Je continuais de fixé Étoile Océanique. Qu’est-ce que je devais répondre à ça? Est-ce que je devais m’excuser de l’avoir déranger? Non je ne crois pas. Il ma demandé s’il pouvait me raccompagner sur mon territoire. Devrais-je accepter? C’est quand même un chef ennemi. Bon ça recommence je me bats avec moi-même. Il serait peut-être mieux si je retourne sur mon territoire, je n’aurais qu’a ne pas rentré tout de suite. Je dis de ma voix calme : -Je vous serais très reconnaissante si vous m’aideriez à retrouvé mon chemin. Enfin si cela ne vous dérange pas.

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Ça ne commençait pas à être énervant mais… Si, en fait. Elle n'avait aucune raison de me fixer ainsi et ça commençait vraiment à être lourd. Je faisais tout mon possible pour rester calme et pour ne pas que l'on s'énerve à nouveau mais honnêtement, c'était vraiment très difficile. Elle avait peut-être un don pour énerver les gens, cette petite. Allez savoir. En tout cas, personnellement, ça ne m'étonnerait pas du tout. Je la côtoyais depuis très peu de temps et j'en avais déjà marre. Dans l'immédiat, j'avais surtout envie de rentrer au camp pour me reposer. Ironie du sort étant donné que JUSTEMENT j'en étais parti pour m'exclure un peu et être tranquille. Désir fichu vu qu'une Noctali au caractère peu agréable est venue gambader sur mes terres. Et maintenant… J'étais obligé de la raccompagner à l'extérieur du territoire. Parce que non ! Je n'irai pas la raccompagner plus loin. Après, si elle se perd, ce n'est plus tellement mon problème mais celui de son chef. Et puis, j'ai des choses plus importante à faire que de ramener des enfants perdus. Si encore ils venaient de chez moi… J'aurais pu faire un effort mais là, non. C'est hors de ma portée :

— Bon très bien. Mais tu rentres chez toi. Je ne veux plus te voir ici. Je te raccompagne à la frontière du territoire et tu rentres. Attention, si tu me joues un tour, je te garantis que je le saurai.

Sur ce, je me préparais à prendre la route ; toujours en espérant en finir rapidement.

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Moi en terrain ennemi? Vous m'en voyez navrée! Pleine Lune — Bon très bien. Mais tu rentres chez toi. Je ne veux plus te voir ici. Je te raccompagne à la frontière du territoire et tu rentres. Attention, si tu me joues un tour, je te garantis que je le saurai. Ma queue noire avec des anneaux bleus fouettait l’aire. Ce chef croyait surement que j’étais désagréable avec tous ceux qui croisent ma route. C’était faux bien évidement. Cela dépend de la personne que tu es. Je ne suis pas vraiment comme ça avec mon frère. Ni avec Nuage d’Espoir mon apprenti. J’avais les oreilles rabaissé. J’étais vraiment frustré contre Étoile Océanique. Je n’avais aucune envie de recroiser ça route. Heureusement qu’il n’était pas mon chef. Puis je me demandai si Sun mon cher frère avait déjà parlé avec Étoile Océanique. Je marchais derrière lui en ce moment. J’avais juste envie de prendre un autre chemin et de partir mais je ne voulais pas me reperdre. Donc je restais derrière lui. Quand la frontière fut en vue je dépassai le chef du clan de l’hiver. Je courais vers ma frontière. Je lançais un dernier regard à ce chef qui ne me plaisait pas du tout et partit voir mon frère. Je peux le dire en toute franchise. Il ma manqué.

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Je n'avais qu'une seule hâte : rentrer. Je surveillais la Noctali de temps à autre pour être sûr qu'elle ne me file pas entre les pattes mais visiblement, elle n'en avait pas l'intention. Elle se serait vite reperdue, de toute manière. Après, comme je l'ai dit, qu'elle se perde à l'extérieur de mon territoire m'importe peu. Elle ne sera plus sous ma responsabilité et je n'aurais plus son cas sur la conscience. Heureusement pour moi, les frontières furent très rapidement en vue. Enfin, j'allais pouvoir avoir la paix. Pour une fois, j'avais vraiment hâte de retrouver ceux de mon clan. Dès que la jeune Noctali aperçu les frontières, elle me passa devant et s'éloigna en courant. Elle m'adressa un dernier regard qui en disait long sur ce qu'elle pensait de moi. Mais ça m'était bien égal. Toutefois, je pus m'empêcher de répondre par une phrase qui se perdit dans le vent :

— Pars. Et si l'envie de remettre les pattes ici te revient, prie pour ne pas retomber sur moi.

Sur ce, je pris la direction du camp. Cette histoire était enfin terminée. Et ce n'était pas pour me déplaire.



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